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e, selon moi; car je suis presque certaine que personne ne voulait bouger. On a arrete beaucoup de gens qui n'eussent rien dit et rien fait, si on les eut laisses tranquilles. Esperons qu'on se lassera de ces rigueurs, la ou elles ne peuvent produire rien de bon, et ou vraiment elles n'etaient pas necessaires. Quand je retournerai a Paris, je compte donc bien vous le faire savoir et vous prier de venir me voir. Si j'avais pu vous etre utile, car j'ai, en toute occasion, pense a vous, j'aurais bien su trouver le temps de vous en avertir. Mais je n'ai pas une seule fois trouve le _joint_. Je n'ai place ni _Nello_ ni l'autre piece. J'allais arranger quelque chose quand il a fallu tout laisser en train. Si mes trois pieces eussent ete mises a flot, j'aurais bien trouve, j'espere, le moyen de vous faire entrer dans un des trois theatres. J'espere que ce moment reviendra favorable; mais je voudrais, avant tout, savoir ce que vous desirez. Vous m'avez dit qu'on vous avait offert un engagement au Vaudeville, et que cela ne vous convenait pas. Vous voudriez jouer le drame, et commencer, m'avez-vous dit, par la Porte-Saint-Martin; or vous savez que je n'ai pu m'arranger avec ce theatre, parce qu'on m'a refuse d'engager mademoiselle Fernand. Je regrette d'avoir encore si peu de credit; j'espere que je finirai par en avoir un peu plus, et comptez bien que tout ce qui dependra de moi pour vous etre agreable, je le ferai de tout mon coeur. Bonsoir et a bientot, mon cher monsieur; mes enfants vous serrent cordialement la main, et Emile Aucante compte vous ecrire bientot. Tout a vous. [1] _Le Mariage de Victorine._ CCCXXXVI A SON ALTESSE LE PRINCE NAPOLEON (JEROME), A PARIS Paris, 3 janvier 1852. Prince, J'ai regarde comme une si grande preuve d'obligeance et de bonte de coeur la peine que vous avez prise de venir trouver une vieille malade, que je n'aurais pas ose vous prier d'y revenir. Ma fille me dit que j'ai eu tort de douter de la franche sympathie avec laquelle vous eussiez accepte mon invitation. Croyez bien que ce n'est pas de vous que je douterai jamais, et, pour preuve, je m'enhardi a vous dire que, si cette pauvre demeure et cette triste figure ne vous font point peur, l'une et l'autre seront ranimees et consolees par votre bonne amitie Mille graces encore. GEORGE SAND CCCXXXVII A M. CHARLES PONCY, A TOULON Pari
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