asions tout ce qui pourra vous
etre agreable et de vivre en bonne intelligence avec vous.
BONAPARTE.
Au Caire, le 28 thermidor an 7 (15 aout 1799).
_Au general Desaix._
J'ai recu, citoyen general, un grand nombre de lettres de vous, qui
avaient ete me chercher a Alexandrie et a Aboukir, et qui sont de
retour.
Vous aurez deja recu differentes lettres par lesquelles je vous fais
connaitre que vous pouvez rentrer dans vos positions de la Haute-Egypte,
et de detruire Mourad-Bey.
Je vous laisse le maitre de lui accorder toutes les conditions de paix
que vous croirez utiles. Je lui donnerai son ancienne ferme pres de
Gizeh; mais il ne pourrait jamais avoir avec lui plus de dix hommes
armes: mais si vous pouviez vous en debarrasser, cela vaudrait beaucoup
mieux que tous ces arrangemens.
BONAPARTE.
Au Caire, le 28 thermidor an 7 (15 aout 1799).
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