lz auront avant mon retour, que ne sera, a mon compte, plus tost
que d'icy a deux mois, partant au commencement de juing." Ibid., p. 236.
[605] This remarkable letter, dated Madrid, May 6, is to be found in the
Supplement a Strada, tom. II. p. 346.
[606] Hopper does not hesitate to regard this circumstance as a leading
cause of the discontents in Flanders. "Se voyans desestimez ou pour
mieux dire opprimez par les Seigneurs Espaignols, qui chassant les
autres hors du Conseil du Roy, participent seulz avecq iceluy, et
presument de commander aux Seigneurs et Chevaliers des Pays d'embas: ny
plus ni moins qu'ilz font a aultres de Milan, Naples, et Sicille; ce que
eulx ne veuillans souffrir en maniere que ce soit, a este et est la
vraye ou du moins la principale cause de ces maulx et alterations."
Recueil et Memorial, p. 79.
[607] Viglius makes many pathetic complaints on this head, in his
letters to Granvelle. See Archives de la Maison d'Orange-Nassau, tom. I.
p. 319 et alibi.
[608] Correspondance de Philippe II., tom. I. pp. 312, 332, et alibi.
[609] "Il faudrait envoyer le cardinal a Rome." Ibid., p. 329.
[610] Ibid., p. 295.
[611] Morillon, in a letter to Granvelle, dated July 9, 1564, tells him
of the hearty hatred in which he is held by the duchess; who, whether
she has been told that the minister only made her his dupe, or from
whatever cause, never hears his name without changing color. Papiers
d'Etat de Granvelle, tom. VIII. p. 131.
[612] "Viglius lui fait souffrir les peines de l'enfer, en traversant
les mesures qu'exige le service du Roi." Ibid., p. 314.
[613] "Ils esperent alors pecher, comme on dit, en eau trouble, et
atteindre le but qu'ils poursuivent depuis longtemps: celui de s'emparer
de toutes les affaires. C'est pourquoi ils out ete et sont encore
contraires a l'assemblee des etats generaux.... Le cardinal, le
president et leur sequelle craignent, si la tranquillite se retablit
dans le pays, qu'on ne lise dans leurs livres, et qu'on ne decouvre
leurs injustices, simonies, et rapines." Ibid., p. 311.
[614] Ibid., p. 320 et alibi.
[615] "Ce qu'elle se resent le plus contre v. i. S. et contre moy, est
ce que l'avons si longuement garde d'en faire son prouffit, qu'elle fait
maintenant des offices et benefices et aultres graces." Archives de la
Maison d'Orange-Nassau, tom. I. p. 406.
[616] "Ipsam etiam Ducissam in suam pertraxere sententiam, honore etiam
majore quam antea ipsam afficie
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