c'est la volonte du Roi, et cela lui suffira pour aller aux Indes, on en
quelque autre lieu que ce soit, et meme pour se jeter dans le feu."
Ibid., p. 301.
[670] Ibid., p. 380.
[671] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 396.
[672] Ibid., p. 372.--Hopper, Recueil et Memorial, p. 57.
[673] "Car, quant a l'inquisition, mon intention est qu'elle se face par
les inquisiteurs, comm'elle s'est faicte jusques a maintenant, et
comm'il leur appertient par droitz divins et humains." Correspondance de
Philippe II., tom. I., "Rapport," p. cxxix, note.
[674] Ibid., ubi supra.
[675] This letter was dated the twentieth of October. All hesitation
seems to have vanished in a letter addressed to Granvelle only two days
after, in which Philip says, "As to the proposed changes in the
government, there is not a question about them." "Quant aux changements
qu'on lui a ecrit devoir se faire dans le gouvernement, il n'en est pas
question." Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 375.
[676] Documentos Ineditos, tom. IV. p. 333.
[677] "Dieu scait que visaiges ils ont monstrez, et que mescontentement
ils ont, voyans l'absolute volunte du Roy." Archives de la Maison
d'Orange-Nassau, tom. I. p. 442.
[678] Hopper, Recueil et Memorial, p. 59.
[679] "Qua conclusione accepta, Princeps Auriacencis cuidam in aurem
dixit (qui post id retulit) quasi laetus gloriabundusque: visuros nos
brevi egregiae tragediae initium." Vita Viglii, p. 45.
[680] "Une declaration de guerre n'aurait pas fait plus d'impression sur
les esprits, que ces depeches, quand la connaissance en parvint au
public." Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. II. p. 94.
[681] "Se comienza a dar esperanza al pueblo de la libertad de
conciencia, de las mudanzas del gobierno." Renom de Francia, Alborotos
de Flandes, MS.
"Some demand a mitigation of the edicts; others," as Viglius peevishly
complains to Granvelle, "say that they want at least as much toleration
as is vouchsafed to Christians by the Turks, who do not persecute the
enemies of their faith as we persecute brethren of our own faith, for a
mere difference in the interpretation of Scripture!" (Archives de la
Maison d'Orange-Nassau, tom. I, p. 287.) Viglius was doubtless of the
opinion of M. Gerlache, that for Philip to have granted toleration would
have proved the signal for a general massacre. Vide Hist. du Royaume des
Pays-Bas, tom. I. p. 83.
[682] "On defiait les Espagnols de trouver aux Pa
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