ys-Bas ces stupides
Americains et ces miserables habitans du Perou, qu'on avait egorges par
millions, quand on avait vu qu'ils ne savaient pas se defendre."
Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. I. p. 97
[683] See a letter of Morillon to Granvelle, January 27, 1566, Archives
de la Maison d'Orange-Nassau, Supplement, p. 22.
[684] Correspondance de Philippe II., tom. I. p. 390.
[685] "Il a appris avec peine que le contenu de sa lettre, datee du bois
de Segovie, a ete mal accueilli aux Pays-Bas, ses intentions ne tendant
qu'au service de Dieu et au bien de ces Etats, comme l'amour qu'il leur
porte l'y oblige." Ibid., p. 400.
[686] Historians have usually referred the origin of the "Union" to a
meeting of nine nobles at Breda, as reported by Strada. (De Bello
Belgico, tom. I. p. 208.) But we have the testimony of Junius himself to
the fact, as stated in the text; and this testimony is accepted by
Groen, who treads with a caution that secures him a good footing even in
the slippery places of history. (See Archives de la Maison
d'Orange-Nassau, tom. II. p. 2.) Brandt also adopts the report of
Junius. (Reformation in the Low Countries, tom. I. p. 162.)
[687] "Inique et contraire a toutes loix divines et humaines, surpassant
la plus grande barbarie que oncques fut practiquee entre les tirans."
Archives de la Maison d'Orange-Nassau, tom. II. p. 3.
One might imagine that the confederates intended in the first part of
this sentence to throw the words of Philip back upon himself,--"Comme il
leur appertient par droitz divins et humains." Depeche du Bois de
Segovie, Octobre 17, 1565.
[688] "Affin de n'estre exposez en proye a ceulx qui, soubs ombre de
religion, voudroient s'enrichir aux despens de nostre sang et de nos
biens." Archives de la Maison d'Orange-Nassau, tom. II. p. 4.
[689] Vandervynckt, Troubles des Pays-Bas, tom. II. p. 134.
[690] "De sorte que si un Prestre, un Espagnol, ou quelque mauvais
garnement veut mal, ou nuyre a autruy, par le moyen de l'Inquisition, il
pourra l'accuser, faire apprehender, voire faire mourir, soit a droit,
soit a tort." Supplement a Strada, tom. II. p. 300.
[691] "L'un des beaux caracteres de ce temps." Borguet, Philippe II. et
la Belgique, p. 43.
[692] Ibid., ubi supra.
[693] Strada, De Bello Belgico, tom. I. p. 209.
[694] "Mettant le tout en hazard de venir es mains de nos voisins."
Correspondance de Guillaume le Taciturne, tom. II. p. 109.
[695] "J'aimerois
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