ion de larmes, comme si ce
fust este les saincts ossemens et reliques de quelque sainct."
Mondoucet, ap. Brantome, OEuvres, tom. I. p. 367.
[1172] Arend, Algemeene Geschiedenis des Vaderlands, D. II. St. v. bl.
66.--Strada, De Bello Belgico, tom. I. p. 395.
[1173] "Les gens du comte d'Aiguemont planterent ses armes et enseignes
de deuil a sa porte du palais; mais le duc d'Albe en estant adverty, les
en fit bien oster bientost et emporter dehors." Mondoucet, ap. Brantome,
OEuvres, tom. I. p. 367.
[1174] Mondoucet, the French ambassador at the court of Brussels, was
among the spectators who witnessed the execution of the two nobles. He
sent home to his master a full account of the tragic scene, the most
minute, and perhaps the most trustworthy, that we have of it. It luckily
fell into Brantome's hands, who has incorporated it into his notice of
Egmont.
[1175] "La comtesse d'Aiguemont, qui emporta en cette assemblee le bruit
d'etre la plus belle de toutes les Flamandes." Correspondance de
Marguerite d'Autriche, p. 364.
[1176] Gerlache, Hist. du Royaume des Pays-Bas, tom. I. p. 96.
[1177] "Qu'il avoit vu tomber la tete de celui qui avoit fait trembler
deux fois la France." Supplement a Strada, tom. I. p. 266.
[1178] Morillon, in a letter to Granvelle, dated August 3, 1567, a few
weeks only before Egmont's arrest, gives a graphic sketch of that
nobleman, which, although by no friendly hand, seems to be not wholly
without truth. "Ce seigneur, y est-il dit, est haut et presumant de soy,
jusques a vouloir embrasser le faict de la republique et le redressement
d'icelle et de la religion, que ne sont pas de son gibier, et est plus
propre peur conduire une chasse ou volerie, et, pour dire tout, une
bataille, s'il fut este si bien advise que de se cognoistre et se
mesurer de son pied; mais les flatteries perdent ces gens, et on leur
fait accroire qu'ilz sont plus saiges qu'ilz ne sont, et ilz le croient
et se bouttent sy avant, que aprez ilz ne se peuvent ravoir, et il est
force qu'ilz facent le sault." Archives de la Maison d'Orange-Nassau,
tom. I. p. lxix.
[1179] "Je diray de lui que c'estoit le seigneur de la plus belle facon
et de la meilleure grace que j'aye veu jamais, fust ce parmy les grandz,
parmy ses pairs, parmy les gens de guerre, et parmy les dames, l'ayant
veu en France et en Espagne, et parle a luy." Brantome, OEuvres, tom. I.
p. 369.
An old lady of the French court, who in her early days had visi
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