che, p. 252.
[1190] "Madame d'Egmont me faict grand pitie et compassion, pour la voir
chargee de unze enfans et nuls addressez, et elle, dame sy principale,
comme elle est, soeur du comte palatin, et de si bonne, vertueuse,
catholicque et exemplaire vie, qu'il n'y a homme qui ne la regrette."
Ibid., ubi supra.
[1191] The duke wrote no less than three letters to the king, of this
same date, June 9. The _precis_ of two is given by Gachard, and the
third is published entire by Reiffenberg. The countess and her
misfortunes form the burden of two of them.
[1192] "Il ne croit pas qu'il y ait aujourd'hui sur la terre une maison
aussi malheureuse; il ne sait meme si la contesse aura de quoi souper ce
soir." Correspondance de Philippe II., tom. II. p. 28.
[1193] "Je treuve ce debvoir de justice estre faict comme il convient et
vostre consideration tres-bonne." Correspondance de Marguerite
d'Autriche, p. 255.
[1194] "Mais personne ne peult delaisser de se acquitter en ce en quoy
il est oblige." Ibid., ubi supra.
[1195] "Quant a la dame d'Egmont et ses unze enfans, et ce que me y
representez, en me les recommandant, je y auray tout bon regard." Ibid.,
ubi supra.
[1196] Arend, (Algemeene Geschiedenis des Vaderlands, D. II. St. v. bl.
66,) who gets the story, to which he attaches no credit himself, from a
contemporary, Hooft.
[1197] Supplement a Strada, tom. I. p. 252.
[1198] "Laquelle, ainsi qu'elle estoit en sa chambre et sur ces propos,
on luy vint annoncer qu'on alloit trancher la teste a son mary."
Brantome, OEuvres, tom. I. p. 368.
Under all the circumstances, one cannot insist strongly on the
probability of the anecdote.
[1199] One of her daughters, in a fit of derangement brought on by
excessive grief for her father's fate, attempted to make away with
herself by throwing herself from a window. Relacion de la Justicia, MS.
[1200] This was the duplicate, no doubt, of the letter given to the
bishop of Ypres, to whom Egmont may have intrusted a copy, with the idea
that it would be more certain to reach the hands of the king than the
one sent to his wife.
[1201] "La misere ou elle se trouve, etant devenue veuve avec onze
enfans, abandonnee de tous, hors de son pays et loin de ses parents, l'a
empechee d'envoyer plus tot au Roi la derniere et tres-humble requete de
son defunt mari." Correspondance de Philippe II., tom. II. p. 31.
[1202] "De la benignite et pitie du Roi." Ibid., ubi supra.
[1203]
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