ssau, tom. II. p. 42.
[712] "De laquelle estant advertis quelques quinze jours apres, devant
que les confederes se trouvassent en court, nous declarames ouvertement
et rondemen qu'elle ne nous plaisoit pas, et que ce ne nous sambloit
estre le vray moyen pour maintenir le repos et tranquillite publique."
Extract from the "Justification" of William, (1567,) in the Archives de
la Maison d'Orange-Nassau, tom. II. p. 11.
[713] This fact rests on the authority of a MS. ascribed to Junius.
(Brandt, Reformation in the Low Countries, vol. I. p. 162.) Groen,
however, distrusts the authenticity of this MS. (Archives de la Maison
d'Orange-Nassau, tom. II. p. 12.) Yet, whatever may be thought of the
expedition against Antwerp, it appears from William's own statement that
the confederates did meditate some dangerous enterprise, from which he
dissuaded them. See his "Apology," in Dumont, Corps Diplomatique, tom.
V. p. 392.
[714] "Les estatz-generaulx ayans pleine puissance, est le seul remede a
nos maulx; nous avons le moyen en nostre povoir sans aucune doubte de
les faire assembler, mais on ne veult estre gueri." Archives de la
Maison d'Orange-Nassau, tom. II. p. 37.
[715] "Ils veullent que a l'obstination et endurcissement de ces loups
affamez nous opposions remonstrances, requestes et en fin parolles, la
ou de leur coste ils ne cessent de brusler, coupper testes, bannir et
exercer leur rage en toutes facons. Nous avons le moyen de les refrener
sans trouble, sans difficulte, sans effusion de sang, sans guerre, et on
ne le veult. Soit donques, prenons la plume et eux l'espee, nous les
parolles, eux le faict." Ibid., p. 36.
[716] "Ire Ma^{t.} gar ernstlich bevelt das man nitt allain die sich in
andere leren so begeben, sol verbrennen, sonder auch die sich widderumb
bekeren, sol koppen lasen; welges ich wahrlich im hertzen hab gefuelt,
dan bei mir nit finden kan das cristlich noch thunlich ist." Ibid., tom.
I. p. 440.
[717] Ibid., tom. II. p. 30.
[718] Ibid., tom. I. p. 432.
[719] Hopper, Recueil et Memorial, p. 67.
[720] "Tant y a que craignant qu'il n'en suivit une tres dangereuse
issue et estimant que cette voye estoit la plus douce et vrayment
juridique, je confesse n'avoir trouve mauvais que la Requeste fut
presentee." Apology, in Dumont, tom. V. p. 392.
[721] "He escripto diversas vezes que era bien ganar a M. d'Aigmont; el
es de quien S. M. puede hechar mano y confiar mas que de todos los
otros, y es amigo
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