d, "Commencement de l'Histoire des Troubles des
Pays-Bas, advenuz soubz le Gouvernement de Madame la Duchesse de Parme."
[509] "Sy estoit singulierement aime et bien vollu de la commune, pour
une gracieuse facon de faire qu'il avoit de saluer, caresser, et
arraisonner privement et familierement tout le monde." Ibid., ubi supra.
[510] "Il ne l'occuperoit point de ces choses melancoliques, mais il lui
feroit lire, au lieu des Saintes-Ecritures, Amadis de Gaule et d'autres
livres amusants du meme genre." Archives de la Maison d'Orange-Nassau,
tom. I. p. 203*.
[511] "Il estoit du nombre de ceulx qui pensent que la religion
chrestienne soit une invention politique, pour contenir le peuple en
office par voie de Dieu, non plus ni moins que les ceremonies,
divinations et superstitions que Numa Pompilius introduisit a Rome."
Commencement de l'Hist. des Troubles, MS., ap. Gachard, Cor. de
Guillaume, tom. II., Preface, p. 5.
[512] "Tantot Catholique, tantot Calviniste ou Lutherien selon les
differentes occasions, et selon ses divers desseins." Memoires de
Granvelle, tom. II. p. 54.
[513] "Estimant, ainsy que faisoient lors beaucoup de catholiques, que
c'estoit chose cruelle de faire mourir ung homme, pour seulement avoir
soustenu une opinion, jasoit qu'elle fut erronee." MS. quoted by
Gachard, Cor. de Guillaume, tom. II., Preface, p. 4.
[514] "No se vee que puedan quedar aqui mas tiempo sin grandissimo
peligro de que dende agora las cosas entrassen en alboroto." Papiers
d'Etat de Granvelle, tom. VI. p. 166.
[515] "Harto se declaran y el Principe d'Oranges y Monsr d'Egmont que
aunque tuviessen la mayor voluntad del mundo para servir en esto a V. M.
de tener cargo mas tiempo de los Espanoles, no lo osarian emprender si
bolviessen, por no perderse y su credito y reputacion con estos
estados." Ibid., p. 197.
[516] Some notion of the extent of these embarrassments may be formed
from a schedule prepared by the king's own hand, in September, 1560.
From this it appears that the ordinary sources of revenue were already
mortgaged: and that, taking into view all available means, there was
reason to fear there would be a deficiency at the end of the following
year of no less than nine millions of ducats. "Where the means of
meeting this are to come from," Philip bitterly remarks, "I do not know,
unless it be from the clouds, for all usual resources are exhausted."
This was a sad legacy, entailed on the young monarch by his fa
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