e natural effects of
water upon the surface of the earth, with those convulsions of the sea
which may be properly considered as the accidental operations of the
globe. This subject being strictly connected with the opinions of that
philosopher with regard to primitive mountains, I am obliged to examine
in this place matters which otherwise might have come more properly to
be considered in another.
M. Pallas in his _Observations sur la formation des montagnes_, (page
48) makes the following observations.
"J'ai deja dit que _la bande de montagnes primitives schisteuses_
heterogenes, qui, par toute la terre, accompagne les chaines
granitiques, et comprend les roches quartzeuses et talceuses mixtes,
trapezoides, serpentines, le schiste corne, les roches spathiques et
cornees, les grais purs, le porphyre et le jaspre, tous rocs feles
en couches, ou presque perpendiculaires, ou du moins tres-rapidement
inclinees, (les plus favorables a la filtration des eaux), semble
aussi-bien que le granit, anterieure a la creation organisee. Une raison
tres-forte pour appuyer cette supposition, c'est que la plupart de ces
roches, quoique lamelleuse en facon d'ardoise, n'a jamais produit
aux curieux la moindre trace de petrifactions ou empreintes de corps
organises. S'il s'en est trouve, c'est apparemment dans des fentes de
ces roches ou ces corps ont ete apportes par un deluge, et encastrees
apres dans une matiere infiltree, de meme qu'on a trouve des restes
d'Elephans dans le filon de la mine d'argent du Schlangenberg.[23] Les
caracteres par lesquels plusieurs de ces roches semblent avoir souffert
des effets d'un feu-tres-violent, les puissantes veines et amas des
mineraux les plus riches qui se trouvent principalement dans la bande
qui en est composee, leur position immediate sur le granit, et meme le
passage, par lequel on voit souvent en grand, changer le granit en une
des autres especes; tout cela indique une origine bien plus ancienne,
et des causes bien differentes de celles qui ont produit les montagnes
secondaires."
[Note 23: This is a very natural way of reasoning when a philosopher
finds a fact, related by some naturalists, that does not correspond with
his theory or systematic view of things. Here our author follows the
general opinion in concluding that no organised body should be found in
their primitive strata; when, therefore, such an object is said to have
been observed, it is supposed that there may have been some m
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