Indians would dig a round hole in the
ground, draw up the knees of the deceased Indian, and wrap the body
into as small a bulk as possible in blankets, tie them firmly with
cords, place them in the grave, throw in beads, baskets, clothing,
everything owned by the deceased, and often donating much extra; all
gathered around the grave wailing most pitifully, tearing their
faces with their nails till the blood would run down their cheeks,
pull out their hair, and such other heathenish conduct. These
burials were generally made under their thatch houses or very near
thereto. The house where one died was always torn down, removed,
rebuilt, or abandoned. The wailing, talks, &c., were in their own
jargon; none else could understand, and they seemingly knew but
little of its meaning (if there was any meaning in it); it simply
seemed to be the promptings of grief, without sufficient
intelligence to direct any ceremony; each seemed to act out his own
impulse.
The next account, taken from M. Butel de Dumont,[25] relating to the
Paskagoulas and Billoxis of Louisiana, may be considered as an example
of burial in houses, although the author of the work was pleased to
consider the receptacles as temples.
Les Paskagoulas et les Billoxis n'enterent point leur Chef,
lorsqu'il est decede; mais-ils font secher son cadavre au feu et a
la fumee de facon qu'ils en font un vrai squelette. Apres l'avoir
reduit en cet etat, ils le portent au Temple (car ils en ont un
ainsi que les Natchez), et le mettent a la place de son
predecesseur, qu'ils tirent de l'endroit qu'il occupoit, pour le
porter avec les corps de leurs autres Chefs dans le fond du Temple
ou ils sont tous ranges de suite dresses sur leurs pieds comme des
statues. A l'egard du dernier mort, il est expose a l'entree de ce
Temple sur une espece d'autel ou de table faite de cannes, et
couverte d'une natte tres-fine travaillee fort proprement en
quarreaux rouges et jaunes avec la peau de ces memes cannes. Le
cadavre du Chef est expose au milieu de cette table droit sur ses
pieds, soutenu par derriere par une longue perche peinte en rouge
dont le bout passe au dessus de sa tete, et a laquelle il est
attache par le milieu du corps avec une liane. D'une main il tient
un casse-tete ou une petite hache, de l'autre un pipe; et au-dessus
de sa tete, est attache au bout de la perche qui le soutient, le
Calumet le plus fameu
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