ench-Bellinghausen). 1876.
Mrs. Prentiss supposed that hers was the first English version of this
poem. But there is a translation by Sir R. A. Anstruther, which appeared
in London as early as 1840 and in a new edition four years later. All
attempts to obtain a copy of this translation in New York, or from
London, have proved futile.
22. _The Home at Greylock_. 1876.
The following extract from a letter of the author of the French
translation to Mrs. Prentiss deserves a place here:
MADAME,--Vous savez sans doute que, sans votre autorisation, une plume,
bien hardie peut-etre, mais pleine de zele et de respect pour vous,
s'est mise a traduire un de vos ouvrages, "The Home at Greylock." Sans
votre autorisation! Etait-ce bien? etait-ce mal? Je me le suis demande
plus d'une fois et je vous l'aurais demande, Madame, si j'avais su votre
adresse assez tot.
L'editeur m'a mis la conscience a l'aise en m'assurant que le droit
etait le meme pour tous, et que les auteurs americains ne pouvaient
conceder de privilege a qui que ce fut. Forte de cette assurance, je me
mis a l'oeuvre, mais j'avoue que j'eus besoin d'encouragements reiteres
pour mener mon travail a bonne fin. Encore un mot d'explication, si vous
le permittez, Madame. Je ne suis pas mere, mais je suis tante; j'ai vu
naitre mes neveux et nieces, je les ai berces dans mes bras, j'ai veille
sur leurs premiers pas, j'ai observe le developpement graduel de leur
coeur et de leur intelligence, j'ai senti a fond combien l'oeuvre
de l'education est serieuse et combien il importe d'etre discipline
soi-meme par le Seigneur pour discipliner les petits confies a nos
soins. Il n'est done pas etonnant que votre livre m'ait vivement
interessee et que j'aie voulu le mettre a la portee d'un grand nombre.
Cela eut ete fait tut ou tard par d'autres, je ne l'ignore point; mais
j'avais envie d'essayer mes forces, et.... l'occasion a fait le larron.
Ne seriez-vous pas ma complice, Madame?...
M'appuyant sur votre bienveillame et sur la fraternite qui unit les ames
dans le Seigneur, je vous prie, Madame, de ne pas me considerer comme
une etrangere et d'agreer l'expression de mon estime et mes voeux en
Christ.
23. _Pemaquid; a Story of Old Times in New England._ 1877.
24. _Gentleman Jim_. 1878.
This little story was the last production of her pen and appeared a few
days only after her death.
25. _Avis Benson; or, Mine and Thine, with other Sketches_. 1879.
This is a collect
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