nso a Castro,
the king's chaplain, preached a sermon in the royal presence, in which
he denounced the execution, and inveighed against the tyranny of the
bishops. The Lords of the Council "talked strangely;" and so deep was
the indignation, that the Flemish ambassador again expected Gardiner's
destruction. Paget refused to act with him in the council any more,
and Philip himself talked more and more of going abroad. Renard, from
the tone of his correspondence, believed evidently at this moment that
the game of the church was played out and lost. He wrote to the
emperor to entreat that when the king went he might not himself be
left behind; he was held responsible by the people for the queen's
misdoings; and a party of the young nobility had sworn to kill
him.[448]
[Footnote 448: "L'evesque de Londres avec les
autres evesques assembleez en ce lieu pour
l'execution du statut conclu en dernier Parlement
sur le faict de la religion, a fait brusler trois
heretiques; l'ung en ce lieu et les deux autres en
pays; et sont apres pour continuer contre les
obstinez: dont les nobles et le peuple heretique
murmure et s'altere; selon que l'ay faict entendre
au roy par ung billet par escript duquel la copie
va avec les presentes; et la noblesse tousjours
desire d'avoir occasion d'attirer le peuple et le
faire joindre a revolte avec elle; et prevoys si
Dieu n'y remedie, ou que telle precipitation ne se
modere, les choses prendront dangereux succes, et
signamment les partiaulx, contre le chancelier ne
perdront ceste commodite de vengeance.... Les
dictes conseilliers se retirent de negoces. Paget
se voyant en la male grace de la royne, et de la
pluspart du conseil, se trouve souvent au quartier
dudict Sieurroy ... le peuple parle contre la royne
estrangement.... Comme j'entendz que l'on parle
pour me faire demeurer, et sejourner par deca apres
le depart du roy, je n'ay pen delaisser de supplier
tres humblement vostre majeste me excuser ... je
suys certain l'on me tueroit
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