the fear to injure them shall be
greatly increased.
This Decree, blessed by God, is promulgated on the 26th of Shaban, 1280
(15 February 1864). Peace!
(Loewe, "Diaries of Sir Moses and Lady Montefiore," vol. ii. p. 153.)
* * * * *
FURTHER EXTRACT FROM PROTOCOLS OF THE MADRID CONFERENCE (1880).
_Protocole No. 12.--Seance du 26 Juin, 1880._
Le President observe que la Conference, ayant accompli, et au dela, la
tache qu'elle s'etait proposee, est a la veille de se dissoudre. Mais il
doit porter a la connaissance de ses membres, avant qu'ils ne se
separent, une communication importante qui a ete adressee par le
Saint-Siege au Gouvernement de Sa Majeste Catholique.
M. Canovas del Castillo donne lecture de la production suivante d'une
lettre, en date du 4 Mai, 1880, qu'il a recue de son Eminence le
Cardinal Nina:
"EXCELLENCE,--Le Saint-Pere, obeissant au devoirs de sa mission
apostolique, ne peut que mettre a profit toutes les occasions qui se
presentent de veiller aux interets du Catholicisme, sur n'importe quel
point du globe. Ayant appris que dans le courant de ce mois un Congres
Diplomatique doit se reunir sous votre presidence pour s'occuper des
affaires du Maroc, Sa Saintete, tout en reconnaissant que parmi les
questions qui seront soumises a la deliberation de la Conference, celle
qui se rapporte a la liberte religieuse dans l'Empire Marocain n'a pas
ete particulierement designee, croit cependant que rien n'interdirait
aux Plenipotentiaires reunis a Madrid de porter leur attention sur un
sujet si important pour le bienetre des habitants du Maroc, quand meme
il ne serait considere qu'au point de vue materiel.
"Il n'est point douteux que, de meme qu'au dernier Congres de Berlin les
appels faits par mon illustre predecesseur, le Cardinal Franchi, aux
Representants de la France et de l'Autriche, MM. Waddington et Andrassy,
eurent pour resultat de faire accueillir et voter, avec l'approbation
generale, les demandes de Sa Saintete relatives a la liberte de la
religion Catholique pour les sujets de la Sublime Porte et des Etats qui
l'avoisinent, de meme la proposition que je fais en ce moment trouvera
un accueil non moins favorable de la part des dignes Representants a la
veille de se reunir dans la capitale d'une nation si devouee au
Saint-Siege, et liee par tant d'interets a l'Empire du Maroc. D'autre
part, il n'est pas permis de presumer que le Gouvernement Marocain, uni
p
|