en couches a peu pres
verticales, dont les plans courent du Nord-Est au Sud-Ouest, en
s'appuyant, _suivant l'usage_, contre l'exterieur de la montagne, ou
contre la vallee." Again, on the Pass of the Gries, Sec. 1738: "Le rocher
presente des couches d'un schiste micace raye comme une etoffe; comme de
l'autre cote ils surplombent vers le dehors de la montagne." Without
referring to other passages I think Saussure's simple words, "suivant
l'usage," are enough to justify my statement in Chap. XIV. Sec. 3; only
the reader must of course always remember that every conceivable
position of beds takes place in the Alps, and all I mean to assert
generally is, that where the masses are most enormous and impressive,
and formed of slaty crystalline rocks, there the run of the beds up, as
it were, from within the mountain to its surface, will, in all
probability, become a notable feature in the scene as regarded by an
artist. One somewhat unusual form assumed by horizontal beds of slaty
crystallines, or of granite, is described by Saussure with unusual
admiration; and the passage is worth extracting, as bearing on the
terraced ideal of rocks in the middle ages. The scene is in the Val
Formazza.
"Independamment de l'interet que ces couches presentent au geologiste
sous un nombre de rapports qu'il seroit trop long et peut-etre inutile
de detailler, elles presentent meme pour le peintre, un superbe tableau.
Je n'ai jamais vu de plus beaux rochers et distribues en plus grandes
masses; ici, blancs; la, noircis par les lichens; la, peints de ces
belles couleurs variees, que nous admirions au Grimsel, et entremeles
d'arbres, dont les uns couronnent le faite de la montagne, et d'autres
sont inegalement jetes sur les corniches qui en separent les couches.
Vers le bas de la montagne l'oeil se repose sur de beaux vergers, dans
des prairies dont le terrein est inegal et varie, et sur de magnifiques
chataigniers, dont les branches etendues ombragent les rochers contre
lesquels ils croissent. En general, ces granits en couches horizontals
redent ce pays charmant; car, quoiqu'il y ait, comme je l'ai dit, des
couches qui forment des saillies, cependant elles sont pour l'ordinaire
arrangees en gradins, ou en grandes assises posees en reculement les
unes derriere les autres, et les bords de ces gradins sont couverts de
la plus belle verdure, et d'arbres distribues de la maniere la plus
pittoresque. On voit e mme des montagnes tres-elevees, qui out l
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