eurs entre lesquels
on nomme Gonor [et] Carnavallet donnoient a entendre que si Monsieur,
frere du roy, voloit prendre une partie de ces gens et les joindre avec le
camp des huguenots, qui [qu'ils] le feroient comte de Flandre."
[475] De Thou, iv. 37-41; Castelnau, liv. vi., c. 8; La Fosse, 91.
[476] Catharine de' Medici to Alva, Dec. 4, 1567, Gachard, Correspondance
de Philippe II., i. 607.
[477] Alva to Catharine de' Medici, Dec., 1567, Gachard, Correspondance de
Philippe II., i. 608, 609.
[478] It is told of one lackey that he contributed twenty crowns.
[479] The scene is described in an animated manner by Francois de la Noue,
c. xv. (Ancienne Collection, xlvii. 199-201); De Thou, iv. 41. "Marque le
lecteur," writes Agrippa d'Aubigne, in his nervous style, "un trait qui
n'a point d'exemple en l'antiquite, que ceux qui devoient demander paye et
murmurer pour n'en avoir point, puissent et veuillent en leur extreme
pauvrete contenter une armee avec 100,000 livres a quoi se monta cette
brave gueuserie; argument aux plus sages d'aupres du roi pour prescher la
paix; tenans pour invincible le parti qui a la passion pour difference, et
pour solde la necessite." Hist. univ., i. 228. D'Aubigne is mistaken,
however, in making the army contribute the entire 100,000. Davila and De
Thou say they raised 30,000; La Noue, over 80,000.
[480] Mem. de Fr. de la Noue, c. xv.
[481] Ibid., _ubi supra_.
[482] Memoires de Claude Haton, i. 500-503.
[483] Ibid., ii. 517. "Et des lors fut le pillage mis sus par les gens de
guerre des deux partis; et firent tous a qui mieux pilleroit et
ranconneroit son hoste, jugeant bien en eux que qui plus en pilleroit plus
en auroit. Les gens de guerre du camp catholicque, excepte le pillage des
eglises et saccagemens des prebstres, estoient au reste aussi meschans, et
quasi plus que les huguenotz."
[484] Menard, Hist. de Nismes, apud Cimber et Danjou, vii. 481, etc.;
Bouche, Histoire gen. de Languedoc, v. 276, 277. Prof. Soldan, Geschichte
des Protestantismus in Frankreich, ii. 274-276, whose account of an event
too generally unnoticed by Protestant historians is fair and impartial,
calls attention to the following circumstances, which, although they do
not excuse in the least its savage cruelties, ought yet to be borne in
mind: 1st, That no woman was killed; 2d, that only those _men_ were killed
who had in some way shown themselves enemies of the Protestants; and, 3d,
that there is no
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