n style that it will at once take the eye of a
connoisseur. This pavilion was the suburban residence of Marguerite
de Valois, the first wife of Henri IV., between the year 1606 and her
death in 1615. This clever but not very strait-laced princess (upon
whom, however, we need not be harder than was he who had the best
right to be so) gathered around her the clever men of the day, and
the _Petit Olympe d'Issy,_ by Michel Bouteroue,[1] gives a good
description of this bright and witty court. The verses are as follows:
Je veux d'un excellent ouvrage,
Dedans un portrait racourcy,
Representer le paisage
Du petit Olympe d'Issy,
Pourven que la grande princesse,
La perle et fleur de l'univers,
A qui cest ouvrage s'addresse,
Veuille favoriser mes vers.
Que l'ancienne poesie
Ne vante plus en ses ecrits
Les lauriers du Daphne d'Asie
Et les beaux jardins de Cypris,
Les promenoirs et le bocage
Du Tempe frais et ombrage,
Qui parut lors qu'un marescage
En la mer se fut descharge.
Qa'on ne vante plus la Touraine
Pour son air doux et gracieux,
Ny Chenonceaus, qui d'une reyne
Fut le jardin delicieux,
Ny le Tivoly magnifique
Ou, d'un artifice nouveau,
Se faict une douce musique
Des accords du vent et de l'eau.
Issy, de beaute les surpasse
En beaux jardins et pres herbus,
Dignes d'estre au lieu de Parnasse
Le sejour des soeurs de Phebus.
Mainte belle source ondoyante,
Decoulant de cent lieux divers,
Maintient sa terre verdoyante
Et ses arbrisseaux toujours verds.
* * * * *
Un vivier est a l'advenuee
Pres la porte de ce verger,
Qui, par une sente cognuee,
En l'estang se va descharger;
Comme on voit les grandes rivieres
Se perdre au giron de la mer,
Ainsi ces sources fontenieres
En l'estang se vont renfermer.
* * * * *
Une autre mare plus petite,
Si l'on retourne vers le mont,
Par l'ombre de son boys invite
De passer sur un petit pont,
Pour aller au lieu de delices,
Au plus doux sejour du plaisir,
Des mignardises, des blandices,
Du doux repos et du loysir.
After the death of Queen Marguerite, the house was sold and it
belonged in turn to several Parisian families which occupied it until
1655. Olier turned it to more pious uses than it had known before,
by inhabiting it during the last few years of his life. M. de
Bretonvilliers, his successor, g
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