0] Brodie, Macartney, &c. See also Nancrede's Orfila, p. 289.
[61] Materia Medica, vol. ii. p. 197.
[62] Mat. Med. vol. ii. p. 198.
[63] Essays, p. 271.
[64] Hist. N. America, vol. i. p. 322.
[65] Rush's Works, vol. i. p. 167.
[66] Essays, p. 270.
[67] Macnish's Anatomy of Drunkenness, p. 83.
[68] "Qu'on ne pense pas, malgre l'usage immense et presque general du
tabac, qu'il n'y ait aucun inconvenient a s'en servir. Les auteurs
rapportent des faits qui prouvent le contraire, et sans ajouter foi a ce
que raconte Borrichius (dans un lettre ecrite a Bartholin) d'une
personne qui s'etait tellement desseche le cerveau a force de prendre du
tabac, qu'apres sa mort, on ne lui trouva dans le crane, au lieu
d'encephale, qu'un petit grumeau noir; ni meme a ce que dit Simon Pauli,
que ceux qui fument trop de tabac ont le cerveau et la crane tout noirs,
nonplus qu'a l'assertion de Van Helmont qui a vu, affirme-t-il, un
estomac teint enjaune par la vapeur du tabac; tout le monde sait qu'il
affaiblit l'odorat par suite de ses irritations repetees sur la membrane
olfactive, qu'il nuit a l'integrite du gout, parce qu'il en passe
toujours un peu dans la bouche et jusque sur la langue. Ce que l'on
n'ignore pas nonplus c'est qu'il derange la memoire, la rends moins
nette, moins entiere; il produit de plus des vertiges, des cephalees et
meme l'apoplexie."--_Dictionnaire des Sciences Medicales, art. Tabac._
[69] Orfila's Toxicology, p. 291.
[70] Essays, p. 265.
[71] M. Merat.
[72] Sketches of Literature and Scarce books, vol. ii. p. 130.
[73] Mr. Brodigan, in his treatise on the tobacco plant, quotes
Herodotus, Strabo, Pomponius Mela, and Solinus, to prove that _tobacco_
was smoked in very ancient times, but the passages merely go to show
that the smoking of _herbs_ was common.
[74] Venner gives ten precepts on the manner in which tobacco is to be
used, and afterwards summarily rehearses the consequences to all who use
it contrary to the order and way he sets down; viz. that "it drieth the
brain, dimmeth the sight, vitiateth the smell, dulleth and dejecteth
both the appitite and stomach, destroyeth the concoction, disturbeth the
humours and spirits, corrupteth the breath, induceth a trembling of the
limbs, exsiccateth the wind-pipe, lungs, and liver, annoyeth the milt,
scorcheth the heart, and causeth the blood to be adusted. Moreover it
eliquateth the pinguie substance of the kidneys, and absumeth the
genitu
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