y is more absurd and more
criminal than the theory of socialism, it has an important mission in
the world, and marks the final conflict, and therefore the end, of two
forces which are the worst enemies of civil freedom,--the absolute
monarchy and the revolution.
FOOTNOTES:
[Footnote 326: _Home and Foreign Review_, July 1862.]
[Footnote 327: "Observations on the Conduct of the Minority," _Works_,
v. 112.]
[Footnote 328: There are some remarkable thoughts on nationality in the
State Papers of the Count de Maistre: "En premier lieu les nations sont
quelque chose dans le monde, il n'est pas permis de les compter pour
rien, de les affliger dans leurs convenances, dans leurs affections,
dans leurs interets les plus chers.... Or le traite du 30 mai aneantit
completement la Savoie; il divise l'indivisible; il partage en trois
portions une malheureuse nation de 400,000 hommes, une par la langue,
une par la religion, une par le caractere, une par l'habitude inveteree,
une enfin par les limites naturelles.... L'union des nations ne souffre
pas de difficultes sur la carte geographique; mais dans la realite,
c'est autre chose; il y a des nations _immiscibles_.... Je lui parlai
par occasion de l'esprit italien qui s'agite dans ce moment; il (Count
Nesselrode) me repondit: 'Oui, Monsieur; mais cet esprit est un grand
mal, car il peut gener les arrangements de l'Italie.'" (_Correspondance
Diplomatique de J. de Maistre_, ii. 7, 8, 21, 25). In the same year,
1815, Goerres wrote: "In Italien wie allerwaerts ist das Volk gewecht; es
will etwas grossartiges, es will Ideen haben, die, wenn es sie auch
nicht ganz begreift, doch einen freien unendlichen Gesichtskreis seiner
Einbildung eroeffnen. ... Es ist reiner Naturtrieb, dass ein Volk, also
scharf und deutlich in seine natuerlichen Graenzen eingeschlossen, aus der
Zerstreuung in die Einheit sich zu sammeln sucht." (_Werke_, ii. 20).]
[Footnote 329: _Considerations on Representative Government_, p. 298.]
[Footnote 330: Mill's _Considerations_, p. 296.]
[Footnote 331: "Le sentiment d'independance nationale est encore plus
general et plus profondement grave dans le coeur des peuples que l'amour
d'une liberte constitutionnelle. Les nations les plus soumises au
despotisme eprouvent ce sentiment avec autant de vivacite que les
nations libres; les peuples les plus barbares le sentent meme encore
plus vivement que les nations policees" (_L'Italie au Dix-neuvieme
Siecle_, p. 148, Par
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