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Custrin. Si les Russes entroient par la Nouvele Marche ou quil nous arivat un Malheur en Lusace, il faudroit que tout Se transportat a Magdebourg, enfin Le Derni& refuge est a Stetein, mais il ne hut y all&r qu'a La Derniere exstremite La Guarnisson la famille Royalle et le Tressort sent Inseparables et vont toujours ensemble il faut y ajouter les Diamans de la Couronne, et L'argenterie des Grands Apartements qui en pareil cas ainsi que la Veselle d'or doit etre incontinant Monoyee. Sil arivoit que je fus tue, il faut que Les affaires Continuent Leur train sans la Moindre allteration et Sans qu'on s'apersoive qu'elles sont en d'autre Mains, et en ce Cas il faut hater Sermens et homages tant ici qu'en prusse et surtout en Silesie. Si j'avois la fatalite d'etre pris prissonier par L'Enemy, je Defend qu'on Aye le Moindre egard pour ma perssonne ni qu'on fasse La Moindre reflextion sur ce que je pourois ecrire de Ma Detention, Si pareil Malheur m'arivoit je Veux me Sacriffier pour L'Etat et il faut qu'on obeisse a Mon frere le quel ainsi que tout Mes Ministres et Generaux me reponderont de leur Tette qu'on offrira ni province ni ransson pour moy et que lon Continuera la Guerre en poussant Ses avantages tout Come si je n'avais jamais exsiste dans le Monde. J'espere et je dois Croire que Vous Conte finc n'aurez pas bessoin de faire usage de Cette Instruction mais en cas de Malheur je Vous autorisse a L'Employer, et Marque que C'est apres Une Mure et saine Deliberation Ma ferme et Constante Volonte je le Signe de Ma Main et la Muni de mon Cachet, "FREDERIC R." [Fac simile of Autograph (Berlin, 24th January, 1854), where is some indistinct History of the Document. Printed also in _OEuvres,_ xxv. 319-323.] These, privately made law in this manner, are Friedrich's fixed feelings and resolutions;--how fixed is now farther apparent by a fact which was then still more private, guessable long afterwards only by one or two, and never clearly known so long as Friedrich lived: the fact that he had (now most probably, though the date is not known) provided poison for himself, and constantly wore it about his person through this War. "Five or six small pills, in a small glass tube, with a bit of ribbon to it:" that stern relic lay, in a worn condition, in some drawer of Friedrich's, after Friedrich was gone. [Preuss, ii. 175, 315 n.] For the Facts are peremptory; and a man that will deal with them must be equally so. Two days a
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