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Parisians took part in these demonstrations appears from the Registers
of Parliament. On the 17th of May, 1558, the Bishop of Paris reported to
parliament that he had given orders to find out "les autheurs des
assemblees qui se sont faictes _ces jours icy, tant au pre aux Clercs,
que par les rues de cette ville de Paris, et a grandes troupes de
personnes, tant escolliers, gentilshommes, damoiselles que autres
chantans a haute voix chansons et pseaumes de David en Francois_." On
the following day the procureur general was directed to inquire into the
"monopoles, conventicules et assembees illicites, qui _se font chacun
jour en divers quartiers et fauxbourgs de cette ville de Paris_, tant
d'hommes que de femmes, dont la pluspart sont en armes, et chantent
publiquement a haute voix chansons concernant le faict de la religion,
et tendant a sedition et commotion populaire, et perturbation du repos
et tranquillite publique." Reg. of Parl., _apud_ Felibien, Hist. de
Paris, Preuves, iv. 783. The charge of carrying arms seems to have been
true only so far that the "gentilshommes" wore their swords as usual.]
[Footnote 664: La Place, Commentaires de l'estat, etc., p. 9; De Thou,
ii. 563.]
[Footnote 665: Hist. eccles. de Bretagne depuis la reformation jusqu'a
l'edit de Nantes, par Philippe Le Noir, Sieur de Crevain. Published from
the MS. in the library of Rennes, by B. Vaurigaud, Nantes, 1851, 2-17.]
[Footnote 666: Hist. eccles. des egl. ref., i. 91.]
[Footnote 667: Ib., _ubi supra_.]
[Footnote 668: De Thou, ii. 566, 567; Hist. eccles., _ubi supra_; La
Place, Commentaires de l'estat, pp. 9, 10; Calvin, Lettres franc. (July
19th), ii. 212, 213.]
[Footnote 669: The closing words of this letter, written probably in
May, 1558, and published for the first time in the Bull. de la Soc. de
l'hist. du prot. fr. (1854), iii. 243-245, from the MS. belonging to the
late Col. Henri Tronchin, are so brave and so loyal, that the reader
will readily excuse their insertion: "Et ce que je vous demande, Sire,
n'est point, graces a Dieu, pour crainte de la mort, et moins encore
pour desir que j'aye de recouvrer ma liberte, car je n'ay rien si cher
que je n'abandonne fort voluntiers pour le salut de mon ame et la gloire
de mon Dieu. Mais, toutefois, la perplexite ou je suis de vous vouloir
satisfaire et rendre le service que je vous doibs, et ne le pouvoir
faire en cela avec seurete de ma conscience, me travaille et serre le
cueur
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